samedi 28 janvier 2017

Napoléon 1806: partie et avis



Ceux qui ont l'habitude de me lire le savent déjà, la période Empire n'est pas ma tasse de thé. En apprenant donc le démarrage de la campagne Kickstarter de Napoléon 1806, je n'étais pas forcément en ébullition. Reste qu'un wargame en KS est tellement rare que je ne peux pas m'empêcher d'aller jeter un œil. Et finalement de découvrir que le créateur du jeu n'est autre que Denis Sauvage, que je ne connais que de nom comme étant l'indéboulonnable vainqueur du Trophée du Bicentenaire de Frédéric Bey. J'apprends de plus que l'éditeur Shakos a été créé par lui-même et quelques amis passionnés pour l'occasion de la sortie de ce jeu. Je vais donc voir un peu plus loin et je m'aperçois finalement que le jeu tombe tout de même particulièrement bien dans un format que j'apprécie beaucoup, le wargame dit léger (on pourrait d'ailleurs discourir sur le sujet...). Après un rapide contact avec Denis je me retrouve en possession d'un exemplaire prototype du jeu.
Le temps de mettre à jour quelques éléments et de trouver un adversaire et nous voici en place.


On peut commencer
Napoléon 1806 est donc un wargame à blocs en point-to-point. Nous utiliserons pour cette première partie les règles du conscrit qui permettent de jouer avec les blocs faces révélées (les blocs se jouant à la finale comme des pions). Chaque bloc représente un corps contenant plus ou moins d'infanterie et de cavalerie.
Le jeu est piloté par carte (card-driven pour les anglophiles) mais plus à la manière d'un Combat Commander que d'un For the People.
Les cartes donc: ici après une attaque française
La photo ci-dessus recèle tout ce qu'il faut savoir sur les cartes, qui sont jouées à différents moments selon les phases de jeu. Rapide explication:
- Phase de pioche: chaque joueur pioche 3 cartes et doit jouer les cartes aux évènements sur fond rouge
- Phase d'initiative: les joueurs peuvent jouer une carte bleue s'ils le souhaitent. Ensuite chaque joueur pioche une carte et celui ayant la plus grande valeur numérique (en haut à gauche) débute le tour.
- Phase d'opérations: là on va activer nos corps et faire la guerre! A ce stade une carte verte peut-être jouée à tout moment tant que le texte le permet. Pour bouger une pile (un ou plusieurs corps) le joueur doit piocher une carte et là encore la valeur lui donnera le nombre de points de mouvement disponible, minoré par le nombre de corps dans la pile. Plus vous bougez gros, moins vous bougez, plus vous vous fatigués! Chaque corps va donner un nombre de cartes à piocher lors d'un combat et on applique alors les résultats dans le cartouche en bas à gauche des cartes que l'on pioche à ce moment-là (en gris, les pertes, en orange les fatigues accumulées). A noter que les joueurs connaissant le nombre de cartes avec des dégâts, on peut calculer ses coups, surtout en fin de deck, on appréciera, ou pas.
- Phase de récupération: on peut jouer des cartes de sa main pour réduire la fatigue de nos corps (d'armée hein!). Mais j'y reviens.

Et notre partie alors:

Tour 3: Napoléon, bien accompagné, au centre. Çà se bat un peut dans la foret à l'ouest et ça court vers Lepizig à l'est! Vous aurez compris que les objectifs sont représentés par les drapeaux.
Ney prend Halle, Soult patine devant Leipzig (merci le renfort prussien du 5e tour!)
Le cube rouge représente un pont détruit par les Prussiens, pas bien sûrs d'eux. Là ça va chauffer!

Fin de partie: les Prussiens ont subi à ce moment tellement de pertes que la victoire française est totale!
Un aspect très intéressant du jeu: la gestion et la fatigue des corps, représentés sur les ordres de batailles que voici:

Les cubes gris représentent l'infanterie et les violets la cavalerie. Les cylindres orange représentent eux le niveau de fatigue de chaque corps. Chaque corps ayant plus de 4 cubes pioche 2 cartes en combat, moins de 4 seulement 1 carte. Tant que la fatigue reste à moins de 4 tout va bien mais dès qu'elle passe cette limite, c'est vite l'usure des troupes, et le drame: dans ce cas un corps pioche 1 carte de moins en combat et voit son effectif diminuer d'1 cube à chaque phase de récupération. Ça fait très mal et c'est un élément essentiel du jeu! Ce ne sont donc pas forcément les pertes directes en combat qui nous font perdre, mais la fatigue accumulée par les déplacements, les combats et les effets des évènements.

Vous remarquerez donc en fin de partie que le Français, qui pousse ses troupes jusqu'au limite faute de temps pour remplir ses objectifs, se retrouve sur la corde raide partout. Tous mes corps étaient soit carrément en train de s'épuiser quand je ne pouvais plus faire autrement, soit à la limite en permanence.

Le résultat pour le Prussien est sans appel: ce fut l'hécatombe! Si vous regardez de plus près la main de cartes de combat que je montre plus haut vous remarquerez que le Prussien ne subit que trois pertes directes... mais également dix fatigues, aggravées de deux par la poursuite de cavalerie que subit le perdant d'un combat s'il a moins de cavalerie que le vainqueur, encore aggravées par la carte "Panique" qui ajoute encore deux fatigues en cas de poursuite. Résultat, épuisés les deux corps prussiens se sont désagrégés, offrant la victoire aux Français!

Voilà donc pour ce survol des règles et de notre partie de découverte. Alors verdict?

Les mécaniques du jeu ont réussi à me faire oublier la période traitée que je n'aime pas plus que ça, un bon point non? J'ai vraiment apprécié les trois niveaux de jeu: la main où il faut gérer ses cartes le mieux possible pour durer et faire mal à l'adversaire, c'est vraiment très réussi, je retrouve des sensations à la Combat Commander que j'adore; l'ordre de bataille où il faut faire attention à tout: les niveaux de fatigue et les effectifs des corps; le plateau: bah oui quand même! Il faut aller les chercher ces objectifs! Bref une belle réussite avec de chouettes sensations ludiques. Deux petites choses tout de même: je n'ai malheureusement pu faire qu'une seule partie avant d'écrire ces lignes, je ne perçois donc que difficilement l'intérêt du jeu sur le long terme même si je pense qu'il y a pas mal de coups à chercher et de tactiques différentes pour les deux camps; l'autre: l'historicité: ne me demandez pas trop ce que j'en pense, encore une fois, la période ne me parle pas, je n'en sais donc rien. Je ressens tout de même les principaux préceptes de l'époque: mouvements rapides et recherche d'effets de masse au combat.

Voilà pour le système et le jeu, reste ma principale inquiétude qui concerne les aspects purement fonctionnels du jeu dans sa version finale. Les cartes seront en français et en anglais, j'avoue avoir du mal avec ça. On risque d'avoir beaucoup de textes dont la moitié ne servira pas. Je comprends l'éditeur sur ce point mais je n'adhère pas. Je ne suis pas fan non plus de l'iconographie, peu intuitive et plutôt vieillotte. Idem pour le design des cartes mais là c'est une vraie question de gout.
Mes gros doigts ont également du mal avec tous ces cubes et ces cylindres à déplacer et retirer sur une page A4. De petites choses certes, mais importantes pour moi et encore plus pour les joueurs de plateau, souvent très pointilleux sur le sujet et à qui le jeu pourrait s'adresser, à mon avis plus largement si certains aspects du jeu avaient été pensés dans ce sens. Reste que je n'ai joué qu'avec une version prototype, donc les choses vont peut-être évolués d'ici sa sortie.

A noter également que le jeu propose les règles du Grognard où les blocs sont joués debout pour le brouillard de guerre et voit l'ajout des vedettes de cavalerie (des leurres). Les ordres de bataille sont dans ce cas cachés derrière des paravents. Et finalement les règles du Maréchal pour le jeu en tournoi.

 N'hésitez donc pas à aller jeter un œil sur la page de la campagne Kickstarter et participer au financement du jeu si l'envie vous prend. Une bien belle découverte qui demande à faire ses preuves (surtout éditoriales).

Arnaud


Lien vers le KS:
https://www.kickstarter.com/projects/190732911/napoleon-1806



vendredi 20 janvier 2017

Tous au Naïa Museum


Je crois que c'est la première fois que je vous emmène en visite de musée. Surtout que celui-ci n'a rien à,voir avec le jeu ni même l'histoire. Enfin presque. Presque parce qu'on y trouve quelques œuvres de Jakub Rozalski qui n'est autre que Monsieur Scythe. Pour ceux qui auraient hiberner ces derniers mois, il s'agit d'une des très grosses sensations ludiques de 2016, énorme carton Kickstarter de Stonemaier Games. J'avais découvert Rozalski notamment à travers son univers uchronique 1ère Guerre Mondiale avant l'annonce du jeu et ce dernier a vraiment très bien été transcris dans ce jeu, même si je n'en suis pas fan.

Le fameux tableau "Scythe"

 
Revenons donc à ce musée, le Naïa Museum. Situé en terres bretonnes, en plein Morbihan, dans le village préféré des Français (ça je ne le savais pas, mais comme j'y suis allé pendant les fêtes de Noël, j'ai compris l'affluence... et ma douleur!): Rochefort en Terre. Naïa Museum propose donc pour un prix d'entrée modique un voyage au cœur de l'Imaginaire de ses artistes. Je ne vais pas y aller par quatre chemins, j'ai pris là une grosse claque. Faut-il pour cela je pense être un tant soit peu sensible aux univers imaginaires en tout genre. Là je confirme bien y être.

Je vous laisse donc avec quelques photos, un échantillon donc de ce qu'on peut y voir. 

Le musée n'est pas grand mais d'une densité exemplaire, votre regard et votre esprit ne pourront pas se reposer. Et puis je préfère un musée de petite surface où l'on prend le temps de regarder et de revenir sur chaque œuvre.

Plusieurs surprises également entre une photo et la réalité, comme le mouvement. Mais shut...










Et en venant à Rochefort en Terre vous ne perdez de toute façon pas votre séjour, le village est vraiment superbe!
Vous trouvez certaines, ou toutes, mes photos pourries, mal cadrées, moches et floues? Ce n'est pas grave, vous verrez c'est mieux en vrai!

Pour en (sa)voir plus: http://www.naiamuseum.com/

Arnaud

dimanche 15 janvier 2017

Old School Tactical et Blue & Grey Campaign Series


Un peu comme tous les ans, sans trop y croire, les soldes apportent de nouveau leurs bonnes affaires. Cette année petit craquage de tirelire mais comment résister à ces jeux que je n'avais pas acheté à leurs sorties (en fait surtout je n'avais pas participé aux campagnes Kickstarter puisqu'ils en sont tous issu) quand ils sont là proposés à des prix abordables.

Voici donc les heureux gagnants: Old School Tactical Volume 1 avec l'extension Stalingrad de Flying Pig Games et deux des trois volumes de la Blue & Grey Campaign Series de Worthington Games, Lee's Invincibles et Jackson & Sheridan (dommage, Grant's Gamble, le premier volume de la série, n'était pas disponible).

Un bel arrivage
L'énorme (et c'est bien le mot) surprise dans ce colis c'est la taille, et le poids, de la boite d'OST.
Mise à côté d'une boite classique de GMT Games, on voit mieux le morceau!

Il y a évidemment (et heureusement!) une bonne raison à cette démesure assez rare dans le milieu du wargame: les deux cartes contenues dans la boite. Deux cartes en dur gigantesques qui remplacent finalement les multiples cartes géomorphiques que l'on retrouve dans quasi tous les jeux tactiques.
Résultat on peut se retrouver à jouer sur une plus ou moins grande partie de la carte selon les scénarii. Peut-être pas ce qu'il y a de plus pratique mais l'effet reste là.



La carte printemps - été - automne

Et la collection hiver :)
Ici une vue d'ensemble du matériel de la boite. 
Les deux fameuses cartes donc mais aussi 4 planches de pions. 
Des pions au format Conflict of Heroes, graphiquement tout de même moins réussis, mais on retrouve cette taille et cette épaisseur de pions qui plaisent tant.
Un livret de règles que je suis en train de lire, plutôt clair, un livret de scenarii (là c'est la profusion: 27 au total!), deux aides de jeu où l'on ne retrouve certaines informations que là (assez étonnant et pas forcément pratique à la lecture des règles mais bon) et un paquet de cartes comportant 18 cartes Luck représentant des aléas de combat et 54 autres étant des résumés de chaque unité existante; assez étonnant, ça ressemble à ce qui se fait dans le jeu de figurines!

Des pions russes












et des Teutons
Beaucoup plus classique, la suite de l'arrivage. Plus classique quand on connait les productions Worthington, c'est-a-dire très cher pour le contenu. A 50% finalement je trouve que c'est le juste prix. Comme OST la série est passée par la case Kickstarter, le tout envoyé des USA avec donc des frais de port qui dissuadent rapidement. Pourtant (sur le papier pour le moment) ces jeux devraient bien me plaire. J'y retrouve globalement ce que j'apprécie dans la série HoldFast: une (très) faible densité de "pions", des règles abordables et des parties courtes. Bien que je ne sois toujours pas un aficionado des jeux à blocs, j'y retourne de nouveau.

Simple mais jolie carte
Je n'ai ouvert que Jackson & Sheridan dont sont issues les quelques photos de ce post. Se composant de deux scenarii, je vais d'abord me concentrer sur cette boite.

Les notes d'intention du créateur sont assez intéressantes puisqu'il y met en avant son but de créer un jeu inspiré de la GCACW de Balkoski mais au format court et abordable. Un sacré pari, on verra si cela se concrétise!



 
Les stickers, c'est du basique

J'espère que vous avez aussi pu profiter de ces soldes pour se faire plaisir!

Arnaud

lundi 2 janvier 2017

Bilan 2016


Et c'est reparti! Une année s'achève et laisse place à la suivante. Une banalité sans doute mais comme il faut marquer le pas de temps et temps, c'est toujours un moment particulier pour regarder un peu en arrière... et encore plus devant. D'année en année j'ai l'impression de me répéter quand je dis que je n'ai malheureusement eu guère d'opportunités de pratiquer le jeu d'histoire mais cela est particulièrement vrai pour 2016 puisque je dénombre en tout et pour tout trois parties de wargames (Triumph & Tragedy, Friedrich, Far East War 1592 et une initiation à Enemy Action: Ardennes) et quelques unes de warteaux (Race to Berlin, Quartermaster General, Days of Ire: Budapest 1956 et plusieurs de 13 Days: The Cuban Missile Crisis et Black Orchestra). Cela ne veut pas dire non plus que je n'ai pas joué. Pas du tout en fait car avec près de 240 parties cette année, je n'ai pas à me plaindre! Reste que le jeu d'histoire y est peu présent, pour les sempiternelles raisons de goûts, temps et calendrier. Donc bilan en sachant cela.

Bien que sorti et acheté en 2015, je n'ai eu l'occasion de découvrir ce Race to Berlin qu'en début 2016. Vraiment une excellente surprise et ce jeu reste parmi les tous meilleurs découverts cette année. N'hésitez pas à vous le procurer si vous avez la chance de tomber dessus (ce qui n'est pas évident). Pour rappel vous trouverez la VF des règles made in Dimicatio et vous pouvez (re)lire mes impressions ICI.



Sans chercher à faire un classement, voici le jeu que je considère comme une autre très belle surprise et un vrai coup de cœur. Vous pourrez (re)lire ICI pourquoi. Je confirme tout le bien que j'en pense après quelques autres parties: mon jeu préféré avec la mécanique de Twilight Struggle. Comme quoi Kickstarter peut amener de très belles choses.
On continue avec les jeux qui m'ont donner bien du plaisir en 2016: Far East War 1592.  Là aussi un Kickstarter qui remplit pleinement ses fonctions et un jeu qui remplit ses promesses. Une seule partie au compteur pour le moment (ce sera pour le prochain article) mais j'ai vraiment beaucoup aimé. De plus le matériel est vraiment somptueux et le thème tellement exotique. La présentation ICI.


Joué en tout début d'année 2016, il s'agit de l'un des gros cartons de GMT Games cette année. Une seconde édition a même vu le jour entre temps. Un jeu fort agréable mais finalement assez compliqué à mettre en place puisqu’à 3 joueurs et une durée de partie plutôt longue, à une époque où je n'arrive que trop peu à me libérer une journée complète pour jouer à ce genre de jeu. Il reste une bonne envie d'y retourner.




Black Orchestra et Days of Ire: Budapest 1956. Deux jeux que je classe ensemble. Deux très bons jeux de plateau à la saveur historique remarquable. Le premier, plus facile à appréhender, a plus aisément trouvé son public mais le second ne démérite nullement et j'espère y rejouer souvent.
Deux exemples que le jeu d'histoire peut aussi se décliner brillamment en version plateau avec succès.

Et donc en dehors des jeux d'histoire me diront les quelques uns d'entre vous intéressés par la chose?

Sponsio. Un jeu de plis malin et totalement cérébral. Les mauvaises mains n'existent pas puisque vous devez choisir vos façons de gagner à chaque tour. Par l'auteur de l'excellent Hack Trick, le jeu est sorti en français entre temps. Excellent dans son genre.

Pour rester dans le jeu de cartes malin: Multiuniversum. Des illustrations magnifiques, un système bien huilé de collections de cartes, une extension Cthulhu (et oui!) et des parties assez tendues. Je valide.

Continuons avec les jeux de cartes. Peut-être moins original dans ses mécaniques mais excellent de par son thème. Là aussi de très belles illustrations (quoiqu'un peu sombres) pour un jeu où les coups tordus pleuvent. Pas encore assez joué pour avoir une opinion bien forgée sur celui-là mais j'ai apprécié ma tentative.

On en finit avec les jeux de cartes! Freak Shop, jeu de collections de cartes là aussi très malin et très facile d'accès. Ok si le créateur du jeu n'était pas un ami, pas sûr que je l'aurais essayé. Et c'est là où je me dis que j'ai tord de le penser car il s'agit vraiment d'une réussite ludique qu'il faut essayer pour être convaincu. Comme quoi, une bonne raison de sortir de ses sentiers ne fait  pas de mal.




Bon, là commence le drame. Oui, j'aime la mécanique de Pandemic, ce n'est plus un secret. Oui j'aime Lovecraft. Oui j'en ai assez des déclinaisons ad nauseam des jeux tentaculaires. N'empêche que j'ai craqué. Et que j'ai bien fait. Une très belle adaptation du système au pays des Grands Anciens. Fort de ce Règne de Cthulhu  j'avais exprès fait l'impasse sur cette déclinaison ibérique, même pendant Essen. J'ai malheureusement eu l'occasion d'y jouer. Et voilà, le drame annoncé, il est dans mes étagères. Là aussi une excellente nouvelle formule pour les fans.

Un œil sur les jeux d'histoire de l'année rassemblés
Voilà donc pour cette année 2016 et son lot de nouveaux jeux (jouées ou pas). Mes prochaines envies: découvrir Hands in the Sea et Moscow'41, rejouer aux autres, attendre les prochains. N'ayant pas beaucoup de jeux dans le viseur pour 2017 je crois que je vais me laisser bercer par les annonces de sorties, précommandes et autres Kickstarter qui ne manqueront pas d'offrir leurs lots de bonne surprise.
Je vais vraiment tenter de trouver le temps/les joueurs/les occasions de pratiquer plus assidument le jeu d'histoire qui me manque beaucoup. Voilà, la résolution (et ce sera la seule!) pour cette nouvelle année.

Au plaisir de vous lire, écouter, rencontrer pendant cette nouvelle année qui débute amis lecteurs de Dimicatio!

En attendant, et puisqu'il n'y a pas que le jeu dans la vie (si, si :-p), je laisse le soin à ceux qui le font mieux que moi de vous souhaiter une belle et magnifique année:


A très vite,
Arnaud